La diversité, l’inclusion et l’équité sont des valeurs qui tentent de plus en plus à être mises en place au sein des entreprises. Les recruteurs portent donc maintenant un intérêt de plus en plus important à la diversité au sein des équipes, et cette pratique permet de favoriser l’inclusion, mais également la marque employeur des entreprises.
Cependant, une forme de discrimination est bien souvent toujours appliquée, et ce, de manière ouverte : la discrimination liée à l’âge, aka l’âgisme.
En effet, trop souvent encore, les entreprises appliquent le biais lié à l’âge lors de processus de recrutement, de sélection ou bien même de promotion au sein des équipes.
Pourtant, il n’y a aucun doute là-dessus, la population est de plus en plus vieillissante, et l’âge de la retraite continue de reculer. Alors pourquoi les entreprises, qui ont souvent besoin de talents expérimentés, continuent à pratiquer cette forme de discrimination ?
Les raisons sont diverses : La crainte que la personne ne s’intègre pas dans la culture de l’entreprise, qu’une personne âgée manifeste plus régulièrement des problèmes de santé, que celle-ci soit résistante à tout changement ou à toute digitalisation, etc.
Et pourtant, la plupart de ces raisons ne sont fondées ni sur les pratiques des personnes plus âgées dans leur environnement de travail, ni même sur les études sur le sujet.
D’ailleurs, ces dernières le prouvent : Les employés plus âgés ne prennent pas plus régulièrement des congés maladie, et sont même moins résistants au changement que les employés les plus jeunes.
Alors comment mettre en place une culture de l’entreprise transgénérationnelle ou chaque employé se sent à sa place et peut apporter sa plus-value ? Focus sur 3 conseils de base.